jeudi 24 juillet 2008

La fabuleuse histoire des boules de riz

Il était une fois, il y a très très longtemps de cela, une époque où de mystérieuses boules de riz tombaient toutes seules du ciel, tous les jours, de toute l’année. Grâce à ces mystérieuses boules de riz venues du ciel, les familles Indiennes pouvaient vivre tranquillement, et n’avaient qu’à faire bien attention, chaque jour, à bien réceptionner leur grosse boule de riz.Mais un beau jour, quelqu’un, quelque part en Inde, rata la grosse boule de riz familiale, qui tomba par terre et se brisa en mille morceaux. Le lendemain, les boules de riz arrêtèrent de tomber mystérieusement du ciel. Elles ne tombèrent pas non plus le lendemain. Ni le surlendemain. Et c’est donc depuis ce temps là que les Indiens cultivent le riz eux-mêmes, dans de gigantesques rizières...

Citadelle

La construction fut conduite entre 1803 et 1832 par un commandant spécialiste de la construction de citadelles et quatre en composent la ville. Kinh Thanh, la ville capitale abrite tous les bâtiments de l'administration du royaume, Hoang Thanh, la ville impériale héberge les palais royaux et les lieux de pèlerinage. Tu Camp Thanh, la ville Pourpre Interdite renferme les résidences royales. Ces deux dernières citadelles sont également appelées Dai Noi, ville intérieure. La rivière des Parfums circule dans l'ensemble fortifié donnant à cette cité féodale un charme esthétique indéniable.
Enfin une quatrième citadelle, Tran Binh Dai, est un ouvrage construit au nord-est et qui est destiné à surveiller les mouvements opérants sur la rivière des Parfums. On notera qu'à dix kilomètres de la cité se dresse Tran Hai Thanh, construite ultérieurement et destinée à surveiller et protéger des attaques maritimes.Quelques chiffres pour que vous vous fassiez une représentation mentale des lieux. L'enceinte principale fait plus de deux kilomètres de coté et les murs font plus de 21 mètres de haut et 6 d'épaisseur ; cette barrière défensive est construite dans un style européen à hexagone irrégulier de style Vauban. Concrètement et pour illustrer le propos... c'est du massif ! Grand, haut, épais, c'est du sérieux paré à toute les éventuelles invasions.En contraste esthétique avec la cité intérieure s'étendant sur 622 mètres par 604 mètres de coté, qui, bien que protégée par des murs de six mètres de haut pour un de large, propose une finesse dans la conception et le style propre à l'esthétisme asiatique. Encore plus de grâce caractérise la dernière enceinte, celle de la cité Pourpre Interdite qui s'étend sur 324 par 290 mètres de coté et dont les murs sont presque un bon tiers moins hauts et épais que ceux de l'enceinte précédente.

Les Grottes d'Elephanta

Pas d'éléphant à Elephanta ! Cette petite île située à dix kilomètres de Mumbai (Bombay) se nommait autrefois Gharapuri ; en y abordant pour la première fois, les Portugais y découvrirent un gigantesque éléphant de pierre et rebaptisèrent l'île "Elephanta"... La statue de l'animal s'effondra en 1814, les fragments furent recupérés puis la statue recomposée dans les jardins Victoria de Mumbai.
Des bateaux effectuent l'aller-retour entre la côte et l'île plusieurs fois par jour. A défaut d'un éléphant de pierre, ce sont une ribambelle de marchands de souvenirs qui nous accueillent et longent le chemin qui, grimpant doucement vers les hauteurs de cette petite île, nous mène en une dizaine de minutes jusqu'à ce qui constitue l'un des ensembles rupestres les plus célèbres de cette région du pays. L'Ouest de l'Inde présente quantité de temples creusés dans la pierre, dont plusieurs classés par l'Unesco.
Les Grottes d'Elephanta furent inscrites en 1987 sur la liste du Patrimoine Mondial. Leur origine précise est source de débats entre experts ; selon les uns ou les autres, elles dateraient d'une époque variant entre le VI ème et le VIII ème siècle. Ce qui est certain en revanche, c'est que ces temples rupestres sont dédiés à Shiva et témoignent d'un renouveau du Shivaïsme à cette période.
Seule la grotte principale d'Elephanta présente un réel intérêt pour le visiteur non archéologue. Il s'agit d'une vaste excavation carrée de 27 mètres de côté, soutenue par des piliers massifs et présentant de larges parois sculptées. Ces dernières, mesurant chacune plusieurs mètres de haut, représentent pour la plupart les formes variées que prend Shiva et ses diverses "aventures" ou réalisations : tantôt destructeur impitoyable de démon, tantôt lors de son mariage avec Parvati, ou encore en yogi assis sur un lotus, ou bien sûr chevauchant sa monture sacrée le taureau Nandi... L'une de ses représentations les plus classiques ne manque évidemment pas à l'appel : le lingam, symbole phallique que nous évoquions déjà lors de notre visite à Thanjavur, autre site classé par l'Unesco.
Mais l'une de ces sculptures constitue inévitablement ce que l'on peut qualifier de "pièce maîtresse" des grottes d'Elephanta. Il s'agit d'une représentation colossale de Mahesamurti (Shiva en tant que "Dieu des Dieux"), haute de 5,70 m et encastrée profondément dans la roche. Nous y découvrons trois visages de Shiva : celui qui fait nous fait face est empli de sérénité. A gauche et sculpté de façon à toujours rester dans l'ombre, Bhairava, visage de la destruction, présente un nez crochu, une bouche cruelle et des symboles de mort dans sa chevelure tels qu'un crâne et des serpents (il tient par ailleurs un autre serpent dans sa main). Quant au visage de droite, il représente la création sous les traits de Vamadeva : traits féminins et sensuels, lotus dans les cheveux et guirlande de perles.

Les Grottes d'Ajante (Inde)

Trois sites classés par l'Unesco visités en quatre jours, et tous des grottes ! Nous pourrions nous lasser, que nenni ! Les grottes d'Elephanta furent impressionnantes, celles d'Ellora éblouissantes, qu'allait donc nous réserver Ajanta...?! Classées sur la liste du patrimoine mondial depuis 1983, les grottes d'Ajanta ont plus d'un atout pour épater et séduire le visiteur qui a eu le courage de se rendre dans cette région éloignée de l'Inde.
Tout d'abord par leur histoire originale : en 1819, un groupe de chasseurs anglais découvre par hasard un ensemble de 30 grottes taillées dans la paroi d'une gorge, sur une étendue de plusieurs centaines de mètres. On imagine aisément l'excitation qui a dû empreindre à l'époque les historiens et autres archéologues, qui découvrirent là des excavations phénoménales, et creusées à des époques différentes, uniquement à la force du marteau et du burin. Il est établi que toutes ces grottes sont bouddhiques mais d'inspirations différentes. Les grottes les plus anciennes furent achevées aux Ier et II ème siècle av. JC et sont issues du Bouddhisme hinayana, alors que les plus récentes datent du V ème et VI ème siècle ap. JC et proviennent de l'école mahayana. Le déclin du Bouddhisme en Inde et l'émergence de la voisine Ellora eurent pour conséquences l'abandon puis l'oubli progressif des grottes d'Ajanta.
En visitant un panel bien choisi de ces 30 grottes (numérotées pour faciliter le repérage), nous avons pu profiter du second atout majeur de cet ensemble bouddhique : sa diversité. Une première distinction se fait naturellement par les deux écoles bouddhiques présentes ici : cinq grottes sont de conception hinayana (les n° 8, 9, 10, 12 et 13), les autres sont des grottes mahayana. Ensuite, nous pouvons distinguer d'une part les chaitya (que l'on peut décrire comme salles de prière), que sont les grottes n° 9, 10, 19, 26 et 29, alors que les grottes restantes sont des vihara (monastères). Ces derniers ont pour la plupart la forme d'une grande salle ornée de piliers et présentant, au fond, une grande statue de Bouddha. Les quatre murs sont souvent ornés de peintures extraordinaires, qui font la gloire d'Ajanta. Nous y revenons dans un instant.
Nous avons pénétré dans trois chaitya, véritablement somptueux. Celui de la grotte 26, le plus imposant des deux par la taille, présente entre autres un superbe Bouddha couché. Les nombreuses sculptures sont, reconnaissons-le avec plaisir, admirablement mises en valeur par d'habiles jeux de lumière.

La statue de Khajuraho

Les temples de l'Est de la ville ont cette particularité de comprendre quelques édifices jaina. Le jaïnisme compte 3 millions d'adeptes en Inde et fut fondé au VI ème siècle av. JC par Mahavira, à la même époque que le bouddhisme. Les jaina suivent des pratiques d'ascètes, particulièrement strictes pour certains. Quant à leurs lieux de culte, nous en avions vu pour la première fois lors de notre visite des grottes d'Ellora il y a une dizaine de jours. Ici le temple Parsvanath est le plus imposant ; son aspect extérieur est très similaire aux temples hindous de Khajuraho. Parmi les magnifiques sculptures qui ornent ses parois extérieures, certaines ont atteint une certaine forme de célébrité, telles que celle de la femme se retirant une épine du pied et de cette autre femme se maquillant les yeux. A l'intérieur, le sanctuaire contient une statue noire, signe de la nature jaina de ce temple.
ous les autres temples de Khajuraho sont hindous ; à l'Est l'un d'eux est dédié à Vamana, incarnation de Vishnu en nain. Nous assistons au travail de restauration d'une équipe d'indiens, grattant et brossant les nombreuses sculptures et bas reliefs de l'édifice noirci par le temps. Au Sud, on trouve les temples les moins finement décorés, représentant tout de même un intérêt pour les historiens qui peuvent étudier là la période de déclin artistique des sculpteurs
A l'extérieur, l'édifice comporte une grande tour principale. En marchant sur la terrasse, il est possible de faire le tour du bâtiment, rectangulaire, et d'observer ainsi les innombrables sculptures et autres frises qui ornent les murs. En dehors des temples, on trouve certains sanctuaires ouverts comprenant des larges statues de pierre. Nandi, le fameux taureau sacré et monture de Shiva, est évidemment présent dans le parc ; mais plus inhabituel nous avons pu contempler une splendide statue de Varaha, le sanglier incarnation de Vishnou, au corps entièrement gravé.

Tonbe DE Humatun,Delhi

Nous vous avons déjà présenté l'empereur moghol Akbar, auteur du fort d'Agra, puis son petit-fils Shah Jahan qui nous a offert le splendide Taj Mahal. Cette fois-ci nous remontons dans le temps jusqu'à l'empereur Humayun, dont le règne a précédé celui d'Akbar. Pourquoi sa tombe a-t-elle été classé par l'Unesco (en 1993) sur la liste du Patrimoine Mondial ? Lorsqu'on se figure une tombe, on imagine une pierre, un caveau, un joli petit édifice... Mais depuis que nous avons découvert le Taj Mahal (qui est, rappelons-le, l'immense mausolée construit par Shah Jahan pour sa femme), puis rien ne peut nous étonner. La tombe d'Humayun est un immense bâtiment, qui rappelle d'ailleurs inévitablement le Taj Mahal de par son allure générale, moins sophistiqué toutefois.
En fait, la particularité de cet édifice est d'être la première d'une série de tombes impériales mogholes. Sa construction, qui date de 1570, est innovatrice sous de nombreux aspects et en particulier parce qu'elle est placée dans un jardin funéraire, concept nouveau à l'époque en Inde. Cette "tombe-jardin", tel qu'on en définit le style, a inspiré les tombes impériales suivantes et notamment le célébrissime Taj Mahal. Dans le cas d'Humayun, toutefois, ce fut sa femme qui érigea cette tombe pour lui et non l'inverse
Les caractéristiques architecturales de ce "style" moghol comprennent un immense socle sur lequel repose l'édifice, couronné d'un dôme elliptique. L'ensemble, de taille gigantesque, présente quatre étages et se compose de briques ; il est habillé de grès rouge et jaune et décoré d'éléments en marbre blanc.
Le résultat obtenu est véritablement impressionnant et fait de la tombe d'Humayun l'un des monuments incontournables d'une visite de Delhi ; même si elle ne surpasse pas, mais comment le pourrait-elle, l'éclatant Taj Mahal situé à Agra et fait de marbre blanc, réel aboutissement de l'art "funéraire" de ces dynasties mogholes successives.
Une petite anecdote maintenant. Les tombes impériales sont relativement nombreuses à Delhi et c'est par erreur (honte sur nous, ce devait être la chaleur...!) que nous avons préalablement visité la tombe de Khana Khana, pensant qu'il s'agissait de celle d'Humayun... Le garde à l'entrée ne nous a fait qu'une réponse bien évasive lorsque nous lui avons demandé s'il s'agissait de la tombe d'Humayun et s'est empressé d'empocher les droits d'entrée. Nous étions bien contents, ceux-ci étaient moins chers qu'à l'ordinaire... Et puis, la fatigue et la température de 40 degrés aidant, nous ne nous sommes pas trop posés de questions et avons entamé notre visite

Le Taj Mahal



Le Taj Mahal ! Un rêve d'amour ! Construit en marbre blanc, étincelant sous le soleil de midi, orange au coucher du soleil, ce bâtiment sublime est une preuve d'amour, l'amour fou que portait l'empereur moghol Shah Jahan à sa femme Mumtaz Mahal
Donc le Taj Mahal est une tombe. Celle de Mumtaz Mahal, seconde femme de l'empereur moghol Shah Jahan, morte en 1631 à 38 ans en accouchant de son 14 ème enfant. La tristesse de l'empereur fut telle que ses cheveux devinrent blancs en une nuit. Par amour pour cette femme il fit mener à bien ce projet insensé, lui offrir le plus beau des mausolées et les travaux débutèrent la même année pour ne s'achever que 17 ans plus tard. Le Taj Mahal est situé dans la ville d'Agra localisée au nord de l'Inde, au bord de la rivière Jamuna dans un virage inclinant ce cours d'eau vers l'est. Cette particularité dans le tracé de la rivière a son importance car l'empereur, musulman, put construire à côté du tombeau une mosquée bien orientée selon les règles du culte.

Le Taj Mahal est donc un tombeau, le plus magique des mausolées, rendu célèbre par la beauté de ses proportions alliée à une symétrie parfaite. Le monument de forme octogonale, coiffé d'un dôme principal autour duquel sont disposés quatre dômes plus petits, est planté sur une terrasse en marbre blanc d'où jaillissent aux quatre coins, de hauts minarets. De part et d'autre du Taj Mahal, deux édifices en grès rouge complètent harmonieusement l'équilibre de l'ensemble. L'un d'eux est une mosquée. Les jardins, les bassins dans lequel le Taj se reflète, accentuent encore l'effet de symétrie.

Pour arriver jusqu'au Taj Mahal, il faut prendre un bus électrique ou une calèche. En effet pour protéger l'édifice de la pollution, des mesures ont été prises interdisant toute circulation de véhicules à moteur alentour. La fermeture de toutes les usines polluantes a également été décidée. La ville ne vit plus que du tourisme.
Soudain, dans l'embrasure d'une porte ogivale, se dessine le mausolée. Lointain, irréel d'abord, fidèle à l'image qu'on attend… Quand on s'approche, il prend de l'épaisseur, il révèle des détails, incrustation de pierres semi-précieuses (turquoise, corail, malachite, lapis-lazuli), sculpture en relief, ciselure du marbre, versets du Coran…
A l'intérieur se trouvent les deux cénotaphes (répliques des tombeaux) de Shah Jahan et son épouse Mumtaz Mahal. Les tombeaux originaux sont à l'abri sous la crypte. La grille en or incrustée de pierres précieuses qui entourait les tombeaux a été supprimée par Aurangzeb. A sa place, on peut voir un treillage en marbre d'une grande beauté.

A l'origine, le Taj Mahal n'avait été prévu que pour abriter la seule tombe de Mumtaz Mahal. L'empereur ayant commencé, pour lui-même, la construction d'une réplique du Taj en marbre noir, celui-là.
Mais emprisonné dans le fort rouge par son fils Aurangzeb, qui lui arracha le pouvoir après avoir tué ses trois frères, celui-ci ne pourra mener à bien son projet, et passera ses dernières années à contempler par-delà la rivière Yamuna, le Taj Mahal où repose sa bien-aimée.
A sa mort, le fils jugeant inutile de faire continuer les travaux du mausolée noir, fit mettre son père aux côtés de son épouse dans le mausolée blanc.

mardi 22 juillet 2008

Mon petit chat VICKY


Je vous présente ma nouvelle acquisition un beau petit chat mignon comme pas un. Il as 6 semaines. Mais en allant le chercher j'étais certaine de rapporter une chatte, on lui avais même donné un nom Vicky mais en allant lui faire donner son vaccin la vétérinaire me dit madame votre petite chatte es un petit chat. Pas question de changer son nom, mon mari adore ce non la.

vendredi 27 juin 2008

Le lion

Vous devez connaître du moins un petit peu le lion !
Cet animal de la savane est le roi des animaux ! Pourquoi ?
Cela vous intrigue ?
Comme vous pouvez le constater le lion a un nom latin. Ce nom est
Panthera Leo.
Le lion d'Afrique peut peser de 100 à 200 kilogrammes, un lion consomme environ 5 kilos de viande crue par jour.
Il a la taille d'un mètre au garrot.
Le lion est un animal carnivore. À l'état sauvage, c'est surtout à la lionne que revient le travail de chasser. Le lion peut parfois aider en menant les proies vers les lionnes, par son odeur et ses rugissements, mais ce sont ses dernières qui tuent.
Le lion vit naturellement jusqu'à 20 ans.
La lionne a une gestation de 3 à 5 mois.
Le lion a comme cri: Le rugissment.
Le lion est dans la famille des Félidés.

mercredi 28 mai 2008

La plus célèbre des plantes carnivores

Elle est parfois nommée attrape-mouche, gobe-mouche de Vénus, ou encore Venus flytrap en anglais. Son mouvement de fermeture rapide et impressionant en fait une plante réellement fascinante.La dionée vit à l'état naturel en Caroline du Nord et Caroline du Sud (Etats-unis).Il n'existe qu'une seule espèce de Dionée: Dionaea muscipula. Les dionées vendues sous des appellations telles que "Shark Teeth", "B52", "Red Dragon", "PomPom", "Red Piranha"... sont des cultivars (de l'anglais "cultivated variety"), c'est à dire des plantes sélectionnées en culture pour leur caractéristiques hors du commun.
Le piège est constitué par les deux lobes de la feuille transformée qui vont se refermer en un mouvement très rapide. C'est un piège dit "actif" dont le mouvement est l'un des plus étonnant du règne végétal.

La fermeture est déclenchée par des poils sensitifs (6 en général) situées sur les faces internes. Dès qu'un insecte touche un des poils le mécanisme est déclenché mais le piège ne se referme pas encore, cela va nécessiter un second contact (du même ou de différents) dans un laps de temps relativement court, la plante se prémunissant ainsi contre des efforts inutiles (dûs par exemple à la chute d'une feuille morte).
La dionée va prendre une autre précaution : elle s'assure que sa proie est bien comestible avant de commencer sa "digestion". La fermeture du piège s'effectue donc en deux temps : après le premier mouvement très rapide les cils situés en bordure vont retenir l'insecte le temps de la vérification (photo 2) ; s'il s'avère que la proie n'est en fait qu'une brindille le piège va se rouvrir, sinon il va se fermer hermétiquement et les cils vont s'écarter .

Le piège se rouvrira ensuite au bout de quelques jours, ne laissant que le squelette de l'insecte.
Il faut savoir que chaque piège, de par sa nature même, ne peut effectuer que quelques fermetures/ouvertures dans sa vie (3 en général). C'est pourquoi il faut éviter de provoquer artificiellement le mécanisme.

La vitesse de fermeture du piège est fortement influencée par la température ambiante : si celle-ci est trop basse le mouvement sera très lent, ou même ne se déclenchera pas du tout.

C'est une fantastique plante, sans doute l'une des plus spectaculaire parmi les plantes carnivores. Et par chance, elle est relativement simple à cultiver dès que l'on respecte quelques règles essentielles.

Il faut la placer dans le mélange classique 2/3 tourbe et 1/3 sable, arrosage lui aussi classique (soucoupe sous le pot ou réserve d'eau). C'est une plante qui a besoin d'un maximum de lumière, le plein soleil lui convient très bien et favorisera une coloration intense de l'intérieur des pièges.
Elle a besoin d'un repos hivernal d'au moins trois mois en dessous de 10°C. Il est préférable d'éviter de l'exposer au gel, même si une plante bien établie y résistera sans soucis.
Si ce repos n'est pas respecté la plante va continuer à pousser mais va peu à peu s'affaiblir et sera de moins en moins vigoureuse au fil du temps et mourra probablement.
Lors de ce repos l'arrosage doit être réduit de manière à maintenir à peine humide, mais surtout pas détrempé sous peine de voir apparaître des moisissures. Pendant cette période la croissance de la dionée sera fortement ralentie (voire stoppée).

De façon régulière, les anciens pièges noircissent et se décomposent pendant que de nouveaux sont en préparation: c'est un processus normal de régénération qui ne doit inquiéter que si le noircissement atteint la majorité de la plante ou bien que la croissance est stoppée (plus de nouvelles feuilles en préparation). Dans ce cas il faut suspecter une mauvaise qualité du substrat qui provoque un pourrissement du rhizome (partie souterraine de la plante). Il faut alors rempoter au plus vite dans un milieu sain après avoir fait tremper quelques minutes la plante dans un fongicide efficace, mais malheureusement lorsque les symptomes apparaissent il est souvent trop tard...

Les parties mortes peuvent être retirées avec un outil tranchant (ciseau, cutter...) en évitant de toucher aux parties vivantes.

jeudi 22 mai 2008

Perroquets Gris du Gabon

Le plus connu et le plus courant est le fameux Gris du Gabon, Son plumage est d'un beau gris cendré très nuancé et sa queue est rouge vif. Ses yeux sont jaune pâle à l'âge adulte, presque noire lorsqu'il est jeune. Variante ou sous espèce de la race, le Timneh est plus petit, plus sombre. Le plumage de sa queue est rouge foncé, voire marron, contrairement à l'Erithacus dont la queue est rouge vif. Il est donc très facile de les distinguer. Les Gris Timneh vivent plus au nord: au Sénégal, en Gambie, en Guinée, en Sierra Leone, au Liberia et en Côte d'Ivoire. Le Psittacus Erithacus Princeps, "Gris du Ghana" ou "Gris d'Afrique de l'ouest" est lui aussi plus petit que le Gris du Gabon. C'est le moins connu des trois. On ne le trouve que sur l'Ile Principe et Fernando Po dans le Golfe de Guinée où il règne en maître.A l'état sauvage, les Gris du Gabon vivent en groupe de 100 à 200 individus. Arrivés à maturité sexuelle, vers 5 ou 7 ans, les Gris du Gabon choisissent leur partenaire et s'unissent pour la vie, tout en restant au sein du groupe (Ils reproduisent d'ailleurs ce comportement avec leur maître auquel ils s'attachent beaucoup). Ils connaissent peu de prédateurs; quelques vautours, des serpents. Mais le pire des prédateurs est l'homme qui lui reproche les dégâts causés à certaines plantations.

Le loup gris






Avec son allure de gros berger allemand, la taille du loup dépasse celle du coyote. Le pelage de l'espèce arctique est presque blanc et celui des régions boisées, comme son cousin le berger allemand, est habituellement gris avec un mélange de blanc, de fauve et de brun. À l'occasion, certains individus sont noirs. Cette fourrure, plus fournie durant l'hiver, est constituée d'un duvet dense et soyeux garni de longs poils rudes appelés jarres.
Son museau large et sensible est noir et toujours humide. Son odorat est exceptionnel. Ses oreilles sont courtes, droites et son ouïe très développée.
Ses yeux jaunâtres et légèrement bridés lui procurent une vision plutôt ordinaire. Sa gueule est armée de dents fortes souvent présentées sous l'angle le plus menaçant. Il est vrai qu'avec une mâchoire qui lui permet de briser la patte d'un chevreuil d'un seul coup, il y a de quoi être impressionné. Ses pattes longues et coussinées de fourrure élargissent sa trace et lui permettent de marcher ou de courir plus facilement sur la neige. Ses griffes solides facilitent son travail de fouissage et d'aménagement de la tanière.
Au trot, à une vitesse de 7 ou 8 km/h, il peut courir des kilomètres sans se fatiguer. Cela ne l'empêche pas de pousser des pointes jusqu'à 45 km/h pour traquer une proie. À cette allure cependant, il se fatigue vite et doit abandonner la poursuite de proies souvent plus rapides ou plus résistantes que lui. Enfin, il arbore avec fierté sa queue touffue qui se termine par une pointe noire.

mardi 20 mai 2008

La légende de la femme cygne

La Femme-cygne est une légende qui raconte l'histoire d'un jeune homme célibataire qui vole une robe magique faite de plumes de cygne à une femme-cygne pour qu'elle ne puisse pas s'envoler et l'épouse. Dans la plupart des versions, elle porte ses enfants ; lorsque les enfants grandissent, ils chantent une chanson sur l'endroit où leur père à caché la robe de leur mère ; dans d'autre versions, un des enfants demande à sa mère pourquoi elle pleure continuellement et trouve la robe, ou ils lui révèlent le secret d'une autre façon. La femme-cygne reprend immédiatement sa robe et disparaît d'où elle vient. Bien que cela l'attriste d'abandonner ses enfants, elle ne les emporte pas avec elle. Dans certaines versions, le mari parvient à la retrouver seulement après une quête ardue ; le plus souvent, l'impossibilité de la retrouver est suffisamment claire qu'il ne s'y tente même pas.
Ce thème est assez répandu dans les récits folkloriques à travers le monde, bien que les animaux puissent varier
. Le récit italien parle plutôt d'une fille-colombe. Il y a les selkies celtes qui prennent la forme de phoques.
Un conte croate met en vedette une louve. En Afrique, le même thème est exploité avec des femmes-buffles.
En Asie orientale, des contes similaires utilisent des femmes qui se transforment en différentes espèces d'oiseaux.
Au Japon, c'est la robe d'un ange qui est volée.

La légende de la Petite Souris


La Petite souris est un mythe populaire occidental visant à rassurer les enfants lorsqu'ils perdent leurs dents de lait.
La légende veut que la Petite souris remplace la dent de lait que les enfants laissent sous l'oreille avant de s'endormir par de l'argent. Subrepticement, les parents agissent comme « auxiliaires » de la Petite souris et récompensent l'enfant en lui laissant une pièce de monnaie pendant la nuit, tel que promis.
L'origine la plus vraisemblable de la Petite souris vient d'un conte français du XVIIIe siècle, La Bonne petite souris. Il décrit une fée qui se transforme en souris pour aider une reine à vaincre un méchant roi, en se cachant sous l'oreiller du roi puis en lui faisant tomber toutes ses dents.
Par ailleurs, suivant une ancienne croyance, lorsqu'un animal mangeait une dent de lait, la dent permanente prenait les caractéristiques de l'animal ; on donnait parfois les dents de lait aux rongeurs dans l'espoir que les enfants obtiennent des dents plus dures et plus pointues. Par exemple, aux Philippines, quand un enfant perd une dent, il la jette au dessus du toit de la maison. De cette manière, une souris lui en rendra une autre qui sera aussi solide et blanche que les dents de cette souris. Au Togo, on dit aux enfants de jeter leurs dents de lait au dessus du toit de la maison, et surtout de ne pas ouvrir la bouche. En effet il ne faut pas qu'un
lézard voit la partie vide sinon les dents risquent de ne plus pousser. En Algérie et au Maroc, il y a une tradition qui coexiste avec le mythe de la petite souris : l'enfant se tourne vers le soleil et demande à Allah d'échanger la petite dent de lait, nommée "dent d'âne", contre une "dent de gazelle" : en effet, dans ces pays la gazelle est presque un synonyme de beauté, d'où le prénom Rym ou Rima.

mercredi 14 mai 2008

Le tigre blanc en voie d'extinction


Il reste seulement trois cents tigres blancs.La plupart sont dans les zoos ou dans les réserve écologiques.
Autrefois, ils étaient chassés car leur fourrure valait beaucoup d'argent. C'est pour cela qu'ils étaient braconner. Aujourd'hui, ils sont protégés par plusieurs organismes ou le gouvernement du pays. Si vous essayer de chasser cet animal, vous pourriez payer très cher ou aller en prison. Nous devons garder cet espèce car elle est très belle et si rares.

jeudi 1 mai 2008

Le poinsettia

Au Mexique, le poinsettia est lié à un très beau conte religieux. L'histoire raconte qu'une jeune fille, du nom de Pépita, marchait tristement vers l'église en cette veille de Noël. Voyant tous les jeunes qui accouraient vers l'église avec des cadeaux pour l'Enfant Jésus, Pépita fondit en larmes sur les marches du perron de l'église. Elle ressentait cruellement sa pauvreté et se sentit incapable de pénétrer dans la Sainte Demeure sans honorer la naissance du Christ avec son propre cadeau

Un sage tenta de la consoler en lui disant : «Pépita, je suis sûr que même le cadeau le plus humble, donné avec amour, sera grandement apprécié». Alors Pépita se leva, et alla cueillir un bouquet de feuilles d'un arbuste commun et peu attrayant qui croissait le long de la route. Elle entra dans l'église et se dirigea tout de suite vers la crèche où venait d'être déposé l'Enfant Jésus.

Poinsettia En déposant son bouquet, un miracle se produisit au grand étonnement de tous les participants. Les feuilles d'un vert ordinaire se transformèrent en bractées d'un rouge intense ; depuis cet événement, tous les poinsettias sauvages se parent de couleurs flamboyantes durant le temps de Noël.

Peu importe la légende, pour les Mexicains, les poinsettias demeurent flores de la Noche Buena ou les «fleurs de la Nuit Sainte». La plante et ses bractées étaient connues depuis fort longtemps par la population locale. En médecine populaire, les feuilles étaient appliquées en cataplasmes pour traiter les maladies de la peau. Elles furent aussi broyées et incorporées à une boisson pour accroître la production de lait chez les femmes qui allaitent. L'écorce et les bractées rouges furent utilisées pour la fabrication d'une teinture cramoisie.


mercredi 30 avril 2008

La licorne au jardin



Un beau matin, un homme assis devant son petit déjeuner quitta des yeux ses œufs brouillés pour voir qu’une licorne blanche avec une corne d’or au milieu du front paissait paisiblement les roses du jardin. L’homme se rendit dans la chambre à coucher où sa femme dormait encore et la réveilla. « Il y a une licorne dans le jardin, dit-il. Elle est en train de manger les roses. » Sa femme ouvrit un œil hostile et le regarda. « La licorne est un animal mythique », dit-elle, et elle lui tourna le dos. L’homme descendit lentement les marches qui conduisaient au jardin. La licorne était toujours là. A présent, elle broutait les tulipes. « Tiens, licorne », dit l’homme et il arracha un lys qu’il lui tendit. La licorne le mangea d’un air grave. Le cœur plein d’allégresse parce qu’il y avait une licorne dans son jardin, l’homme remonta au premier et tira à nouveau sa femme de son sommeil. « La licorne, dit-il, a mangé un lys. » Sa femme s’assit dans son lit et le regarda froidement. « Tu es dingue, dit-elle, et je vais t’expédier dans une maison de dingues. » L’homme, qui n’avait jamais beaucoup aimé les mots « dingue » et « maison de dingues », et qui les aimait d’autant moins par un matin ensoleillé où il y avait une licorne au jardin, réfléchit un instant. « Nous verrons », dit-il. Il regagna la porte. Puis il retourna au jardin regarder la licorne, mais la licorne était partie. L’homme s’assit au milieu des roses et s’endormit.
Dès que son mari eut quitté la maison, la femme se leva et s’habilla aussi vite que possible. Elle était tout excitée, elle avait le regard triomphant. Elle téléphona à la police puis à un psychiatre ; elle leur demanda de venir chez elle immédiatement et d’apporter une camisole de force. A leur arrivée, les policiers et le psychiatre prirent place dans des fauteuils et la regardèrent avec grand intérêt. « Mon mari, dit-elle, a vu une licorne ce matin. » Les policiers regardèrent le psychiatre et le psychiatre regarda les policiers. « Il m’a dit qu’elle a mangé un lys », dit-elle. Le psychiatre regarda les policiers et les policiers regardèrent le psychiatre. « Il m’a dit qu’elle a une corne en or au milieu du front », dit-elle. Sur un signe du psychiatre, les policiers bondirent de leur fauteuil et s’emparèrent de la femme. Ils eurent du mal à la maîtriser car elle leur opposait une résistance farouche, mais à la fin ils y parvinrent. Au moment où ils lui passaient la camisole de force, le mari rentra à la maison.
« Avez-vous dit à votre femme que vous avez vu une licorne ? » lui demandèrent les policiers. « Non, bien sûr, répondit le mari. La licorne est un animal mythique. » « C’est tout ce que je voulais savoir, dit le psychiatre. Emmenez-la. Monsieur, je suis désolé, mais votre femme est folle à lier. » Ils l’emmenèrent donc, toute jurante et hurlante, et l’enfermèrent dans une institution. Le mari vécut heureux pendant très longtemps.

La morale de l’histoire : gardez pour vous vos idées farfelues tant qu’elles ne sont pas au point.

L'arbre géant



Il était une fois dans une forêt abritant un arbre géant, dans un pays très lointain, le Canada , un chêne (ou un érable plutôt) si majestueux, si grand, si gigantesque que personne n'en n'avait vu la cime. Il était plus millénaire que mon grand-père et semblait traverser le ciel, son tronc se perdant dans la brume des nuages.

Un violant orage éclata dans cette forêt inondant la terre. L'eau montait, montait et semblait ne pouvoir s'arrêter. Pour sauver leur vie, un chasseur et un bûcheron surpris par l'orage grimpèrent dans l'arbre.

Après une longue escalade les deux hommes sont arrivés au dessus des nuages dans le monde de Vincent Time. Monde qu'il créé et modifie au gré de ses envies grâce à une plume magique. Tout ce qu'il écrit avec elle devient réalité ! Ici, rien n'est prévu pour les humains, des animaux légendaires y vivent. C'est le royaume des licornes, des Elfes, des Trolls, des Gnomes, des Golems, des fées etc…

Le bûcheron épuisé par la monté est recueillit par l'écrivain créateur de ce paradis. Le chasseur voyant tant de gibier devient fou et tira sur tous les animaux blessant une licorne. Vincent Time et le bûcheron inquiets alertés par le coup de feu se précipitèrent dehors.

La licorne mourante se coucha près de ses petits. Le chasseur s'approchant d'elle pour prendre sa corne magique compris qu'il détruisait une famille. Devant cette scène d'amour et d'émotion il se rendit compte qu'il était méchant et prenant conscience de son erreur il se mit a pleurer. On ne tue pas les contes de fées ! ! !

Vincent Time ne pouvait rien faire, sa plume n'avait pas de pouvoir sur les actes des humains. Heureusement, le bûcheron, se rappela d'une histoire de son enfance que lui avait raconté sa grand-mère. Dans celle-ci, les larmes avaient un pouvoir miraculeux.

Sans plus attendre il demanda au chasseur de se pencher au dessus de la Licorne. Ses larmes tombèrent sur la blessure de la licorne, les nuages se dissipèrent, la magie arriva … Une douce musique se fit entendre puis une douce lumière enveloppa la scène. La blessure se referma, la licorne se leva et s'éloigna avec ses petits.

Vincent Time se rendant compte que l'on avait échappé au désastre, renvoya les humains chez eux après avoir effacer leur mémoire. Puis il lança un sort sur l'arbre millénaire pour qu'il soit invisible pour les humains…

Depuis les animaux imaginaires et Vincent Time vivent en paix.

lundi 28 avril 2008

La légende du halo de la lune

Lorsque nous observons la lune dans le ciel, celle-ci nous apparaît
souvent entourée d'un anneau, parfois deux. Ce phénomène est dû à
la réflexion et à la réfraction de la lumière à travers des cristaux
de glace en suspension au creux des nuages à haute altitude; les
cirrostratus.Voici une légende australienne qui donne une explication
amusante à ce phénomène.

A première vue, on trouve au héron, avec son long bec et ses longues
pattes, un certain charme, une certaine élégance. Mais ne vous y
trompez pas, l'avarice de cet oiseau est sans limite.

Le plus avare de tout les hérons s'appelle Mouregou. Un soir, la
Lune, Ballou, lui rendit visite, le genre de visite devenu de plus
en plus rare. En effet, l'avarice de Mouregou éloigna peu à peu ses
amis et le confina dans un role de maussade et grognon esseulé.La Lune
pénétra dans la demeure de Mouregou et, avec étonnement, en fit
visuellement l'inventaire.

Partout le long des murs se dressaient des lances et des gourdins
de combats, des arcs et des flèches, ainsi que des boucliers
merveilleusement décorés de motifs variés. Il y avait aussi, étalées
ici et là, de chaudes couvertures aux fines broderies et aux couleurs
éclatantes.

Ballou saisit une des lances, de loin la plus belle et la plus légère.
Il la tourna et la retourna dans ses mains, réalisant qu'il serait bien
difficile pour lui de s'en séparer tellement elle lui plaisait.

La Lune s'adressa alors au héron et lui en quémanda le don; Donne -
la -moi, Monregou, et je l'exhiberai partout où j'irai en te rendant
hommage, toi son premier propriétaire. Pas question, de répondre
Mourregou, j'en ai besoin pour me défendre. Ballou lui dit , Tu as
tellement d'armes que je n'ai pas d'inquiétude pour ta sécurité. Il
n'en est pas question, répondit Mouregou en lui arrachant la lance
convoitée.

Ballou le pris de lui prêter une chaude couverture pour pallier les
nuits fraîches. encore une fois, Ballou essuya un refus catégorique.
je ne prête, ni ne vent rien, lui clama Mougerou. Va donc ton chemin,
il en vaudra mieux pour tout le monde.

Triste et dépitée, Ballou s'en retourna tout en nourrissant une vive
rancune à Mouregou pour sa dévorante avarice. Avec de l'écorce et des
branchages, la Lune se construisit une petite hutte circulaire pour
se protéger des vents froids. tout juste avait-elle fini de s'installer
dans son antre qu'il se mit à pleuvoir interminablement.

Il plut tellement et en si grande abondance que les rivières et les
ruisseaux débordèrent et provoquèrent une gigantesque inondation
qui rapidement envahit la demeure de Monregou. Les arcs, les flèches et
même la belle lance tant convoitée par Ballou furent emportés au loin.
les belles couvertures furent tellement imbibées qu'il devint impossible
de s'en servir pour dormir.

Depuis ces jours lointains, la Lune garde toujours une profonde aversion
pour l'avarice de Monregou. En regardant le ciel nocturne, vous le
constaterez lorsque vous verrez la Lune à l'intérieur de sa petite cabane
circulaire. Vous pourrez en conclure que le lendemain, il va pleuvoir à
coup sûr, forçant ainsi le héron à patauger, juché sur ses longues pattes,
à la recherche de son trésor perdu.

MÉLI MÉLO

Je suis a faire un blog. Dans ce blog je parle de tout, de loup de perroquet, de licorne, de souris ect. Ce que je trouve beau sur le net je le met dans mon blog. J'espère que vous aller aimer ce que je fais. Si vous avez des commentaire gènez vous pas de les inscrire dans commentaire, je serais ravie de les lire.
Voici mon adresse: karinatibo@hotmail.com