mercredi 28 mai 2008

La plus célèbre des plantes carnivores

Elle est parfois nommée attrape-mouche, gobe-mouche de Vénus, ou encore Venus flytrap en anglais. Son mouvement de fermeture rapide et impressionant en fait une plante réellement fascinante.La dionée vit à l'état naturel en Caroline du Nord et Caroline du Sud (Etats-unis).Il n'existe qu'une seule espèce de Dionée: Dionaea muscipula. Les dionées vendues sous des appellations telles que "Shark Teeth", "B52", "Red Dragon", "PomPom", "Red Piranha"... sont des cultivars (de l'anglais "cultivated variety"), c'est à dire des plantes sélectionnées en culture pour leur caractéristiques hors du commun.
Le piège est constitué par les deux lobes de la feuille transformée qui vont se refermer en un mouvement très rapide. C'est un piège dit "actif" dont le mouvement est l'un des plus étonnant du règne végétal.

La fermeture est déclenchée par des poils sensitifs (6 en général) situées sur les faces internes. Dès qu'un insecte touche un des poils le mécanisme est déclenché mais le piège ne se referme pas encore, cela va nécessiter un second contact (du même ou de différents) dans un laps de temps relativement court, la plante se prémunissant ainsi contre des efforts inutiles (dûs par exemple à la chute d'une feuille morte).
La dionée va prendre une autre précaution : elle s'assure que sa proie est bien comestible avant de commencer sa "digestion". La fermeture du piège s'effectue donc en deux temps : après le premier mouvement très rapide les cils situés en bordure vont retenir l'insecte le temps de la vérification (photo 2) ; s'il s'avère que la proie n'est en fait qu'une brindille le piège va se rouvrir, sinon il va se fermer hermétiquement et les cils vont s'écarter .

Le piège se rouvrira ensuite au bout de quelques jours, ne laissant que le squelette de l'insecte.
Il faut savoir que chaque piège, de par sa nature même, ne peut effectuer que quelques fermetures/ouvertures dans sa vie (3 en général). C'est pourquoi il faut éviter de provoquer artificiellement le mécanisme.

La vitesse de fermeture du piège est fortement influencée par la température ambiante : si celle-ci est trop basse le mouvement sera très lent, ou même ne se déclenchera pas du tout.

C'est une fantastique plante, sans doute l'une des plus spectaculaire parmi les plantes carnivores. Et par chance, elle est relativement simple à cultiver dès que l'on respecte quelques règles essentielles.

Il faut la placer dans le mélange classique 2/3 tourbe et 1/3 sable, arrosage lui aussi classique (soucoupe sous le pot ou réserve d'eau). C'est une plante qui a besoin d'un maximum de lumière, le plein soleil lui convient très bien et favorisera une coloration intense de l'intérieur des pièges.
Elle a besoin d'un repos hivernal d'au moins trois mois en dessous de 10°C. Il est préférable d'éviter de l'exposer au gel, même si une plante bien établie y résistera sans soucis.
Si ce repos n'est pas respecté la plante va continuer à pousser mais va peu à peu s'affaiblir et sera de moins en moins vigoureuse au fil du temps et mourra probablement.
Lors de ce repos l'arrosage doit être réduit de manière à maintenir à peine humide, mais surtout pas détrempé sous peine de voir apparaître des moisissures. Pendant cette période la croissance de la dionée sera fortement ralentie (voire stoppée).

De façon régulière, les anciens pièges noircissent et se décomposent pendant que de nouveaux sont en préparation: c'est un processus normal de régénération qui ne doit inquiéter que si le noircissement atteint la majorité de la plante ou bien que la croissance est stoppée (plus de nouvelles feuilles en préparation). Dans ce cas il faut suspecter une mauvaise qualité du substrat qui provoque un pourrissement du rhizome (partie souterraine de la plante). Il faut alors rempoter au plus vite dans un milieu sain après avoir fait tremper quelques minutes la plante dans un fongicide efficace, mais malheureusement lorsque les symptomes apparaissent il est souvent trop tard...

Les parties mortes peuvent être retirées avec un outil tranchant (ciseau, cutter...) en évitant de toucher aux parties vivantes.

jeudi 22 mai 2008

Perroquets Gris du Gabon

Le plus connu et le plus courant est le fameux Gris du Gabon, Son plumage est d'un beau gris cendré très nuancé et sa queue est rouge vif. Ses yeux sont jaune pâle à l'âge adulte, presque noire lorsqu'il est jeune. Variante ou sous espèce de la race, le Timneh est plus petit, plus sombre. Le plumage de sa queue est rouge foncé, voire marron, contrairement à l'Erithacus dont la queue est rouge vif. Il est donc très facile de les distinguer. Les Gris Timneh vivent plus au nord: au Sénégal, en Gambie, en Guinée, en Sierra Leone, au Liberia et en Côte d'Ivoire. Le Psittacus Erithacus Princeps, "Gris du Ghana" ou "Gris d'Afrique de l'ouest" est lui aussi plus petit que le Gris du Gabon. C'est le moins connu des trois. On ne le trouve que sur l'Ile Principe et Fernando Po dans le Golfe de Guinée où il règne en maître.A l'état sauvage, les Gris du Gabon vivent en groupe de 100 à 200 individus. Arrivés à maturité sexuelle, vers 5 ou 7 ans, les Gris du Gabon choisissent leur partenaire et s'unissent pour la vie, tout en restant au sein du groupe (Ils reproduisent d'ailleurs ce comportement avec leur maître auquel ils s'attachent beaucoup). Ils connaissent peu de prédateurs; quelques vautours, des serpents. Mais le pire des prédateurs est l'homme qui lui reproche les dégâts causés à certaines plantations.

Le loup gris






Avec son allure de gros berger allemand, la taille du loup dépasse celle du coyote. Le pelage de l'espèce arctique est presque blanc et celui des régions boisées, comme son cousin le berger allemand, est habituellement gris avec un mélange de blanc, de fauve et de brun. À l'occasion, certains individus sont noirs. Cette fourrure, plus fournie durant l'hiver, est constituée d'un duvet dense et soyeux garni de longs poils rudes appelés jarres.
Son museau large et sensible est noir et toujours humide. Son odorat est exceptionnel. Ses oreilles sont courtes, droites et son ouïe très développée.
Ses yeux jaunâtres et légèrement bridés lui procurent une vision plutôt ordinaire. Sa gueule est armée de dents fortes souvent présentées sous l'angle le plus menaçant. Il est vrai qu'avec une mâchoire qui lui permet de briser la patte d'un chevreuil d'un seul coup, il y a de quoi être impressionné. Ses pattes longues et coussinées de fourrure élargissent sa trace et lui permettent de marcher ou de courir plus facilement sur la neige. Ses griffes solides facilitent son travail de fouissage et d'aménagement de la tanière.
Au trot, à une vitesse de 7 ou 8 km/h, il peut courir des kilomètres sans se fatiguer. Cela ne l'empêche pas de pousser des pointes jusqu'à 45 km/h pour traquer une proie. À cette allure cependant, il se fatigue vite et doit abandonner la poursuite de proies souvent plus rapides ou plus résistantes que lui. Enfin, il arbore avec fierté sa queue touffue qui se termine par une pointe noire.

mardi 20 mai 2008

La légende de la femme cygne

La Femme-cygne est une légende qui raconte l'histoire d'un jeune homme célibataire qui vole une robe magique faite de plumes de cygne à une femme-cygne pour qu'elle ne puisse pas s'envoler et l'épouse. Dans la plupart des versions, elle porte ses enfants ; lorsque les enfants grandissent, ils chantent une chanson sur l'endroit où leur père à caché la robe de leur mère ; dans d'autre versions, un des enfants demande à sa mère pourquoi elle pleure continuellement et trouve la robe, ou ils lui révèlent le secret d'une autre façon. La femme-cygne reprend immédiatement sa robe et disparaît d'où elle vient. Bien que cela l'attriste d'abandonner ses enfants, elle ne les emporte pas avec elle. Dans certaines versions, le mari parvient à la retrouver seulement après une quête ardue ; le plus souvent, l'impossibilité de la retrouver est suffisamment claire qu'il ne s'y tente même pas.
Ce thème est assez répandu dans les récits folkloriques à travers le monde, bien que les animaux puissent varier
. Le récit italien parle plutôt d'une fille-colombe. Il y a les selkies celtes qui prennent la forme de phoques.
Un conte croate met en vedette une louve. En Afrique, le même thème est exploité avec des femmes-buffles.
En Asie orientale, des contes similaires utilisent des femmes qui se transforment en différentes espèces d'oiseaux.
Au Japon, c'est la robe d'un ange qui est volée.

La légende de la Petite Souris


La Petite souris est un mythe populaire occidental visant à rassurer les enfants lorsqu'ils perdent leurs dents de lait.
La légende veut que la Petite souris remplace la dent de lait que les enfants laissent sous l'oreille avant de s'endormir par de l'argent. Subrepticement, les parents agissent comme « auxiliaires » de la Petite souris et récompensent l'enfant en lui laissant une pièce de monnaie pendant la nuit, tel que promis.
L'origine la plus vraisemblable de la Petite souris vient d'un conte français du XVIIIe siècle, La Bonne petite souris. Il décrit une fée qui se transforme en souris pour aider une reine à vaincre un méchant roi, en se cachant sous l'oreiller du roi puis en lui faisant tomber toutes ses dents.
Par ailleurs, suivant une ancienne croyance, lorsqu'un animal mangeait une dent de lait, la dent permanente prenait les caractéristiques de l'animal ; on donnait parfois les dents de lait aux rongeurs dans l'espoir que les enfants obtiennent des dents plus dures et plus pointues. Par exemple, aux Philippines, quand un enfant perd une dent, il la jette au dessus du toit de la maison. De cette manière, une souris lui en rendra une autre qui sera aussi solide et blanche que les dents de cette souris. Au Togo, on dit aux enfants de jeter leurs dents de lait au dessus du toit de la maison, et surtout de ne pas ouvrir la bouche. En effet il ne faut pas qu'un
lézard voit la partie vide sinon les dents risquent de ne plus pousser. En Algérie et au Maroc, il y a une tradition qui coexiste avec le mythe de la petite souris : l'enfant se tourne vers le soleil et demande à Allah d'échanger la petite dent de lait, nommée "dent d'âne", contre une "dent de gazelle" : en effet, dans ces pays la gazelle est presque un synonyme de beauté, d'où le prénom Rym ou Rima.

mercredi 14 mai 2008

Le tigre blanc en voie d'extinction


Il reste seulement trois cents tigres blancs.La plupart sont dans les zoos ou dans les réserve écologiques.
Autrefois, ils étaient chassés car leur fourrure valait beaucoup d'argent. C'est pour cela qu'ils étaient braconner. Aujourd'hui, ils sont protégés par plusieurs organismes ou le gouvernement du pays. Si vous essayer de chasser cet animal, vous pourriez payer très cher ou aller en prison. Nous devons garder cet espèce car elle est très belle et si rares.

jeudi 1 mai 2008

Le poinsettia

Au Mexique, le poinsettia est lié à un très beau conte religieux. L'histoire raconte qu'une jeune fille, du nom de Pépita, marchait tristement vers l'église en cette veille de Noël. Voyant tous les jeunes qui accouraient vers l'église avec des cadeaux pour l'Enfant Jésus, Pépita fondit en larmes sur les marches du perron de l'église. Elle ressentait cruellement sa pauvreté et se sentit incapable de pénétrer dans la Sainte Demeure sans honorer la naissance du Christ avec son propre cadeau

Un sage tenta de la consoler en lui disant : «Pépita, je suis sûr que même le cadeau le plus humble, donné avec amour, sera grandement apprécié». Alors Pépita se leva, et alla cueillir un bouquet de feuilles d'un arbuste commun et peu attrayant qui croissait le long de la route. Elle entra dans l'église et se dirigea tout de suite vers la crèche où venait d'être déposé l'Enfant Jésus.

Poinsettia En déposant son bouquet, un miracle se produisit au grand étonnement de tous les participants. Les feuilles d'un vert ordinaire se transformèrent en bractées d'un rouge intense ; depuis cet événement, tous les poinsettias sauvages se parent de couleurs flamboyantes durant le temps de Noël.

Peu importe la légende, pour les Mexicains, les poinsettias demeurent flores de la Noche Buena ou les «fleurs de la Nuit Sainte». La plante et ses bractées étaient connues depuis fort longtemps par la population locale. En médecine populaire, les feuilles étaient appliquées en cataplasmes pour traiter les maladies de la peau. Elles furent aussi broyées et incorporées à une boisson pour accroître la production de lait chez les femmes qui allaitent. L'écorce et les bractées rouges furent utilisées pour la fabrication d'une teinture cramoisie.